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La plus grande conférence sur la conservation des Forêts du Bassin du Congo à Libreville
De la gauche vers la droite: Commissaire de la CEEAC M. Tabouna, Ministre britannique de l'Environnement Lord Goldsmith, Secrétraire d'État allemand pour l'Environnement M. Jochen Flasbarth, Ministre gabonais des Affaires étrangères M. Adamo, Ministre camerounais de l'Environnement M. Dongo, Secrétaire d'État f , Ministre de l'Environnement gabonais Prof. White, © CBFP
Plus de 600 officiels et invités de la société civile ont pris part à la plus importante conférence du Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo (PFBC) qui existe depuis 20 ans (05-09.07.22): les ministres de l'environnement des 10 États membres de la Commission des Forêts d'Afrique centrale (COMIFAC), d'importants États donateurs et des représentants de la société civile.
En fait, il n'y a pas aujourd'hui de « poumon vert » sur Terre qui absorbe plus de CO2 que la forêt du Bassin du Congo - et soulage ainsi le climat mondial.
Au cœur du sujet se trouve la mise en œuvre de la « Déclaration de Berlin » du 08.09.21 par les 10 États membres de la Commission des Forêts ainsi que le premier engagement de financement étendu uniquement pour la forêt du Bassin du Congo lors de la Conférence sur le climat COP26 pour 2021 - 2025, auquel l'Allemagne contribue de plus d'un sixième. La perception du rôle dit de facilitation de la forêt tropicale locale par l'Allemagne ainsi que sa coordination des donateurs, chacun de 2020 à 2022, ont reçu beaucoup d'éloges et de reconnaissance.
Le rôle du Gabon en tant que « phare du Bassin du Congo », exemplaire avec le meilleur bilan au niveau du CO2 et de la biodiversité, a également été largement reconnu. Le Gabon montre qu'une gestion écologique de la forêt tropicale est possible: la production, la transformation et l'affinage durables du bois dans le pays sont des conditions préalables certifiées à l'exportation de bois tropicaux; L'écotourisme et les « crédits carbone » en préparation ont le vent en poupe.